Le Coronavirus nous a obligés d’une part à repenser l’organisation du foyer afin de répondre aux besoins de toute la famille (espace de travail intelligent, d’activité physique, des cours et des tâches pour les enfants) d’autre part a réfléchir à l’avenir: l’immobilier est-il un actif dans lequel vous devriez toujours investir? Selon un article de Il Sole 24 Ore, la réponse est oui, tant que vous vous concentrez sur des maisons «de qualité». Voici les scénarios qui nous attendent.
Maisons assez grandes mais en ville
Selon les données du dernier Observatoire Nomisma, la crise économique générée par l’urgence sanitaire pourrait conduire à une baisse des ventes immobilières qui passerait de 40 mille à 110 mille ventes en moins, avec pour conséquence une baisse des prix entre 1 et 3% environ pendant la période 2020-2021.
Mais la valeur restera inchangée pour les maisons qui répondent à certaines exigences, tout d’abord celle de la superficie car, comme l’explique Mario Breglia, président de Scenari Immobiliari, dans cette phase de verrouillage, il est devenu clair pour beaucoup qu’une très petite maison n’est pas confortable. Cela se traduira par une évolution de la demande qui ne conduira cependant pas à privilégier la province par rapport à la ville: les zones urbaines resteront plus sollicitées, même si nous assisterons probablement à une revalorisation des zones périphériques par rapport aux zones centrales.
Sur quels éléments se concentrer pour un bon investissement
Selon les experts, à court terme, le segment des maisons excessivement petites ou mal construites souffrira. Par exemple, les maisons où il n’y a pas assez de lumière ou dont les systèmes de climatisation ne résistent pas à une plus grande consommation. Parmi les défauts qui pourraient faire baisser la valeur d’un bien, il y a les murs non insonorisés et le manque d’espace extérieur, qu’il s’agisse d’un balcon ou d’un jardin, y compris un jardin en copropriété: et dans ce contexte, la cour intérieure sera particulièrement appréciée, conformément à la tendance qui prévalait avant même l’urgence de Covid-19.